L’aventure ne fait que commencer… plus de 16 000 personnes ont déjà vu le film à l’occasion des 300 avant-premières qui ont déjà eu lieu partout en France. Partout, les réactions sont unanimes : ce film est un véritable outil d’éducation et de mobilisation citoyenne !
ZERO PHYTO, 100% BIO sort mercredi 31 Janvier, et nous avons la chance qu’il soit diffusé dans de nombreux MK2 et cinémas indépendants dès sa sortie. C’est l’occasion de promouvoir les solutions et les alternatives à l’usage de pesticides dans les espaces verts, et de découvrir les villes qui s’engagent pour proposer une alimentation bio dans leur cantine.
On a besoin de vous pour faire vivre le film !
Dès le jour de la sortie, courrez dans votre salle de cinéma préférée ! Parlez-en autour de vous !
Pour rester à l’affiche le plus longtemps possible et être mis à l’affiche dans un maximum de salles, les salles parisiennes doivent faire un maximum d’entrées dès les jours qui suivent la sortie.
Mobilisez-vous pour que le cinéma près de chez vous diffuse le film : Un guide est à votre disposition ici.
On compte sur vous !
Bio consom’acteurs est partenaire et co-producteur du film.
SYNOPSIS
Après Insecticide Mon Amour, le réalisateur Guillaume Bodin présente Zéro phyto 100 % bio, son nouveau documentaire. Une enquête passionnante sur plusieurs communes françaises qui n’ont pas attendu l’entrée en vigueur le 1er janvier 2017 de la loi Labbé interdisant l’utilisation de pesticides dans les espaces publics pour changer leurs pratiques. Ce film met aussi en avant les pionniers de la restauration collective biologique et leurs partenaires : associations, entreprises, agriculteurs, ingénieurs, artisans qui ensemble contribuent à l’amélioration de la qualité des repas dans les collectivités. Les associations Générations Futures, Bio Consom’acteurs et Agir Pour l’Environnement sont à l’initiative de ce projet.
UNE PETITE RÉVOLUTION EST EN MARCHE DANS LA GESTION DES ESPACES VERTS.
À Versailles, Miramas, Grande-Synthe, Langouët et Laurenan, la présence de pesticides chimiques de synthèse dans les espaces publics est déjà de l’histoire ancienne. À budget constant, voire inférieur, ces villes et villages arrivent à maîtriser les herbes folles autrement et fleurir ou cultiver des surfaces auparavant inutilisées. Cette dynamique écologique renforce les liens sociaux, permet de préserver la santé des techniciens comme des citoyens et engendre d’autres projets, notamment culturels.
Privilégier les espèces vivaces et endémiques, aider les professionnels et les citoyens à adopter de nouveaux réflexes, inciter les entreprises à innover pour mieux répondre aux nouvelles pratiques paysagères sont autant d’actions qui participent à une gestion écologique globale des villes, tout en respectant la santé des habitants.
DU 100 % LOCAL ET BIOLOGIQUE DANS LA RESTAURATION COLLECTIVE, C’EST POSSIBLE !
Le projet de loi imposant 20 % de produits issus de l’agriculture biologique dans la restauration collective n’a pas été adopté au Sénat, mais cela n’a pas empêché certaines communes de prendre les devants. À Mouans-Sartoux, la régie agricole municipale répond à l’essentiel des besoins alimentaires de la commune. Le reste est fourni par des fermes biologiques locales. À Langouët comme à Paris, dans les 2e et 5e arrondissements, les élus ont adopté des mesures drastiques pour améliorer la qualité des repas et collaborent étroitement avec des agriculteurs bio et des associations de leur région.
Comme le dit le maire de Barjac, « nourrir, c’est aimer », alors pourquoi « lésiner » quand il s’agit de nourrir nos enfants ? Les populations des hôpitaux, des prisons, des écoles ou des maisons de retraite n’ont-elles pas droit à une alimentation saine et de qualité ?
Conscients de leurs responsabilités en termes de santé publique et d’environnement, ces acteurs de terrain ne livrent pas de solutions toutes prêtes, mais décrivent plutôt les étapes qu’ils ont franchies pour mener à bien leurs projets. Leur expérience montre que toutes les communes, quelles que soient leur taille et leur couleur politique, peuvent changer leurs pratiques.
Un documentaire d’utilité publique à diffuser le plus largement possible.