REINTEGRONS NOS SOIGNANTS SUSPENDUS !

 

SUSPENDUS…

DES SOIGNANTS ENTRE DEUX MONDES

VOIR OU REVOIR LE FILM    Réalisé par Fabien MOINE

   Une magnifique soirée, grâce à l’implication collective de nombreuses personnes:

 Soignants (suspendus ou non), juristes, associations, citoyens… pour leurs témoignages, apport de contacts, de sites internet, Lucy d’EXUVIE,

Fabien MOINE (réalisateur) et le Docteur Julien DEVILLEGER (cardiologue) pour leurs interventions en audio, mais aussi les soignants dont les

interventions n’ont pas pu être partagées par manque de temps…

UN GRAND MERCI à TOUS POUR CETTE SOLIDARITE !

 

   La solidarité qui a animé cette soirée doit continuer.

 

Vous trouverez ci dessous quelques témoignages, ainsi que les différents contacts et liens internet qui nous ont été transmis.

Témoignages écrits de soignants anonymes:

 

REVEILLEZ-VOUS: Appel d’un chirurgien dans l’incertitude

Je suis chirurgien en situation incertaine et j’aimerai faire part de mon témoignage.

J’ai été suspendu pendant 10 mois.

J’espère que les aberrations que j’ai vécu ou entendu feront réagir les gens pour qu’on se réveille tous de cette torpeur et indifférence globale.

J’ai honte du gouvernement et les médias qui ont terrorisé la population, tuant la liberté, et semant la haine de l’autre.

J’ai honte de mes confrères et de nos instances qui ont cédé à la peur et à la corruption et abandonné le raisonnement scientifique et leur serment d’Hippocrate.

J’ai honte du système judiciaire qui nous a trahi.

J’ai honte de ceux qui ont dit oui, alors qu’ils pensaient non.

J’avoue que moi-même, j’ai eu peur du COVID.

Protocoles d’hygiène stricts, zéro vie sociale, j’ai tout fait pour protéger les autres.

Pendant le premier confinement, quand je rentrais à la maison du travail, je me changeais sur le palier, je lavais mes habits avec moi sous la douche, avant de les laver dans la machine à laver, parce que j’avais peur de contaminer mes proches.

Pour la même raison, les membres de ma famille me déposaient à manger dans ma chambre. Je restais dans ma chambre enfermé jusqu’au prochain jour de travail. 

Voilà jusqu’où cette psychose des médias nous a amené.  J’ai été confiné dans ma chambre pendant 3 mois.

Pendant toute la durée de la pandémie, je ne mangeais plus à l’hôpital, mais dans ma voiture, par peur là aussi d’attraper le COVID et de le transmettre à ma famille.

Depuis 2021, mes collègues se précipitaient pour se vacciner.

 Ces mêmes personnes étaient mes professeurs des années auparavant, et m’avaient appris de ne jamais mettre dans le corps d’un patient un produit qui n’avait pas au moins 5 ans de recul.

La peur provoquée par le gouvernement et les médias leur faisait perdre la lucidité.

Le gouvernement a annoncé l’obligation vaccinale, et début septembre 2021 le comble :

Mon chef de service me demande de faire le « contrôleur du pass sanitaire » à l’entrée de l’hôpital pour dépanner une journée. En gros on n’interdisait pas encore l’accès, mais on prévenait les gens que bientôt il y aurait un pass sanitaire pour rentrer.

L’ironie était que mon chef de service ne savait pas qu’il avait choisi le seul docteur non vacciné de l’hôpital pour contrôler le pass…

Donc le contribuable français paye des chirurgiens pour scanner des QR code au lieu d’opérer sur les patients…

Propos que j’ai entendu d’une cadre parlant à un médecin :

« Il y a des aides-soignantes qui refusent la vaccination…

Mais ça se voit dans leurs yeux que leur cerveau est vide : On ne peut pas discuter avec ces gens….

Au final le 15 septembre j’ai été suspendu et j’ai dû fermer mon cabinet de chirurgie privé.

Le comble dans tout ça, c’est que l’hôpital croule sous la décomposition et la saleté, mais c’est moi, soignant respectant les gestes barrières, enfermé dans ma chambre et sans vie sociale, qui est considéré comme un risque pour les patients.

 

Cette situation a duré 10 mois, période pendant laquelle j’ai continué à payer mon salarié pour ne pas le pénaliser.

10 mois de suspension pendant lesquels pas un seul de mes collègues de m’a appelé pour savoir pourquoi j’étais absent, ni si j’allais bien.

A l’une des manifs, une dame âgée dans la rue m’a dit : « c’est à cause de gens comme vous que la France est par terre », alors que je ne demandais qu’à travailler.

Printemps 2022 : Je découvre qu’en tant que non vacciné je peux prendre l’avion pour aller à l’étranger, mais je ne peux pas prendre les bus, les trains, ni les avions interrégionaux en France.

Au final, j’ai pu retourner au travail après 10 mois d’enfer.

Au retour à l’hôpital, après une heure de questionnement, la médecine du travail a conclu ma visite avec les exigences suivantes :

« Vous devrez porter le masque FFP2 et la visière en permanence au sein de l’hôpital. Vous ne pourrez pas manger au resto de l’hôpital »

Moi en ironisant « Si un jour je dois exceptionnellement manger à l’hôpital, je pourrai manger sur la terrasse quand même ? »

« Uniquement à une table seul »

Oui, c’est un médecin du travail qui a prononcé ces aberrations en France, en 2022.

Ensuite a suivi une réunion d’accueil avec 2 membres de la direction et mon chef de service. Le comité d’accueil, 3 contre 1, ça met vachement à l’aise….

« Alors vous êtes vacciné, ça y est ? »

« Cela ne vous regarde pas : J’ai vu la médecine du travail et je suis en règle ».

Mon chef de service : « Ah non, il faut qu’on sache parce qu’il y a des gens qui ne veulent pas travailler avec toi si tu n’es pas vacciné ».

« Ils n’ont pas à connaître mon statut vaccinal. Et de quoi ils ont peur exactement ? Je porte un FFP2 et une visière, et eux aussi ! »

Ils n’ont pas su me répondre.

Ils ont même eu le culot de me demander des test antigéniques toutes les semaines.

Actuellement je travaille mais jusqu’à quand ?

Ma situation est dans l’incertitude, comme de nombreux soignants.

Les hommes politiques balayent le sujet d’un revers de main disant »ceci ne concerne qu’une centaine de personnes », alors que nous sommes nombreux.

Réveillez les gens autour de vous s’il vous plaît. Dites-leur que vous souhaitez que ces obligations vaccinales sans fondement cessent et que vous souhaitez que l’on réintègre les travailleurs suspendus.

On vous dit : « Vous n’avez qu’à vous réorienter » Je ne vais pas changer de métier alors que j’ai consacré 18 ans de ma vie à l’apprendre et le perfectionner.

Réveillez-vous et réveillez les autres. Car comme dit la fameuse citation :

« POUR TRIOMPHER, LE MAL N’A BESOIN QUE DE L’INACTION DES GENS DE BIEN »

 

TÉMOIGNAGE D’UNE INFIRMIERE QUI A PERDU SA FLAMME DE SOIGNANTE

 

Je suis infirmière depuis 15 ans maintenant.

Le 12 juillet 2020 est une date dont je me rappelle avec clarté. J’étais en vacances avec ma famille, nous étions à table. Je savais que le président comptait faire une allocution à 20h au sujet de la pandémie et je voulais savoir ce qu’il allait dire.

Nous l’avons donc écouté pendant le repas. Ce fut d’abord le choc. Mon compagnon et moi-même, nous nous sommes regardés, nous étions sonnés.

Etant lui aussi infirmier, nous étions concernés tous les deux.

Plusieurs sentiments m’ont traversé inquiétude, abattement puis soulagement.

Soulagement car j’étais enceinte de 5 mois au moment de l’annonce de l’obligation vaccinale pour les soignants.

En arrêt depuis avril, j’ai cru que je serai épargnée et j’avais même espoir que pour ma reprise cette obligation ne serait plus d’actualité. Grossière erreur, sur toute la ligne.

 

Une semaine ou quinze jours avant la date butoir, soit le 15 septembre, j’ai reçu un sms de mon employeur me signalant ma non mise en conformité concernant la vaccination contre le covid.

 

 Puis, le lendemain ma lettre avec accusé de réception me signifiant ma suspension au 15 septembre. Une fois de plus je fus sonnée. Je ne m’étais pas inquiétée de cette obligation puisque en arrêt. N’ayant aucun recul sur ce vaccin, je ne voulais pas le faire. D’autant plus que j’étais enceinte.

 

J’ai notion qu’une femme enceinte ne peut prendre presque aucun médicaments pendant sa grossesse, alors un vaccin qui n’est pas aboutit encore moins.

J’ai donc contacté mon syndicat, qui m’a rassuré et m’a donné la marche à suivre vis-à-vis de mon employeur.

Là encore ce fut laborieux, double discours sur la même journée avec ma direction. J’ai dû me battre, seule, pour échapper à cette chose et protéger mon enfant. 

Mes employeurs ont fini par me laisser tranquille, probablement car je leur ai demandé qui signera le document me certifiant que mon enfant et moi-même n’auront aucunes conséquences à la suite de cette injection et qui prendrait cette responsabilité, d’autant plus que dans le vidal (bible des médicaments) les laboratoires avaient précisés qu’il n’y avait pas de recul concernant les femmes enceintes et allaitantes.

Bref, j’ai eu un répit de quelques mois.

 

Puis rebelote, à la fin de mon congé maternité, alors que j’avais un mois et demi à poser en congé, j’ai dû me justifier de cette fameuse vaccination, sinon, je ne pouvais pas poser mes vacances. J’ai donc arrêté d’allaiter mon enfant.

 J’ai été suspendue quelques jours car je n’arrivais pas à me décider, puis j’ai céder pour raison financière, besoin d’argent pour nourrir ma famille.

Aujourd’hui, j’ai 2 injections et une infection. Mon employeur m’a demandé les 2 premier QR code, mais le 3ème j’attends toujours qu’il me le réclame. Hors de question que je leur mâche le travail, ils auraient dû me le réclamer en juin…

 

Si mon employeur me demande de justifier d’une 4ème injection, je ne le ferai pas. Je préfère me faire suspendre ou prendre une dispo plutôt que de ne pas me respecter. Je suis prête à travailler dans les champs ou tout autre chose, diminuer ma qualité de vie.

Aujourd’hui, j’ai perdu ma flamme de soignante  et je cherche  à me reconvertir. Il y a eu trop de violence sur les 2 dernières années.

 

 

SENTIMENTS D’UNE SOIGNANTE RÉVOLTÉE

Pour moi c’est typiquement ce que peut faire une structure perverse :

S’attendre à l’inconcevable. Ces applaudissements que pour ma part je ne désirais pas et qui sonnaient faux dans le contexte de destruction de l’hôpital public qui perdure opposé pour moi à l’équivalent d’un viol avec ces injections, comme si nous n’appartenons pas à nous même, comme si nous n’étions pas des êtres sensibles qui réfléchissent.

Culpabilisation, manipulation, aucun bon sens et de la torture mentale en nous pressant encore plus comme des citrons même si on a déjà craqué et au final tous ces pauvres gens pas où mal soignés et même comme en a témoigné une célèbre résistante écrivain de plus de 80 ans, une attente gigantesque aux urgences dont certains meurent, encore seul.

Ce qu’on a fait aux humains en les divisant et les laissant mourir seuls, et à leurs enfants qui ont souffert de deuil non fait, ceux qu’on a largué chez eux avec un Doliprane, je ne crois pas que je puisse pardonner un jour tellement c’est révoltant et contraire à la vie.

Vidéos débat après séances sur site EXUVIE   et sur  YOUTUBE

 

Témoignage d’un pompier suspendu et reconverti

qui résume parfaitement toutes les problématiques liées au pass vaccinal

 

PRINCIPAUX SITES INTERNET:

SOLARIS  Un réseau d’entraide décentralisé et basé sur l’humain

Université d’Eté Résistante 2022

Nicole et Gérard DELEPINE Des médecins toujours dans la lutte pour défendre la liberté de prescrire

NE VACCINONS PAS LES FEMMES ENCEINTES  Par le Dr Nicole DELEPINE

POURQUOI LES PATIENTS POSENT T-ILS DES LAPINS AUX MEDECINS ?    Par le DR Gérard DELEPINE

Grâce à l’association AMETIST nous avons pu proposer à la vente quelques LIVRES.

Association AGORA Soufleurs de vie et le Dr Vincent ALBERTEAU qui nous a fournit un flyer enfance en P.J.

Philippe GUILLEMANT  « Je suis encore plus optimiste qu’avant« 

Le CSAPE  (Collectif des Syndicats et Associations de Professionnels Européens)   qui a mis en ligne une plainte en ligne à télécharger et à renvoyer à rafa14@hotmail.fr

REINFOCOVID

VICTOIRE COMPLETE POUR LE PROFESSEUR PERRONNE

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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